Espace des Traitements

Blabla

Les traitements des lésions Ostéopathiques

Le traitement sera de faire cesser la cause originelle des dysfonctions fasciales, c’est à dire :

  1. Le dysfonctionnement musculaire.
  2. Le raccourcissement des fascias.

Il faudra :

  1. Traiter les pertes de rythmes génératrices de “spasticité“ et plus facile à mettre en évidence. Les traitements peuvent être des manipulations directes, des mobilisations articulaires ou des techniques faciales selon les types d’articulations ou l’affinité des ostéopathes à ces technologies…
  2. Dans un second temps, il faudra traiter les désynchronisations musculaires qui sont des lésions primaires, mais plus faciles à détecter après avoir traiter les lésions de pertes de rythmes
  3. Et enfin, il faudra traiter les lésions en pertes d’amplitudes, les étirements ou les techniques faciales pourront être efficaces à cette étapes.

L’Ostéopathie n’intervient donc pas uniquement dans les traitements des lésions articulaires, mais elle intervient également le cas de toutes les lésions organiques consécutive à des lésions fasciales persistantes

Les traitements des symptômes ou pathologies

Concernant les plagiocéphalies positionnelles :

Le praticien doit tester la motilité de l’ensemble de os du crâne dans les trois plans de l’espace.

Il traitera l’ensemble des lésions des os du crâne et  plus particulièrement le temporal dans le plan frontal (rotation antérieure et rotation postérieure).

L’enfant “plagiocéphale“ présente, pour rappel, une lésion de désynchronisation des temporaux.

Chez l’adulte le traitement se fait entourant la tête du patient du côté opposé au temporal en lésion jusqu’à enclencher une mobilisation de la clavicule. Puis on lui demande de faire une apnée respiratoire en inspiration, de ramener la tête en la tournant en position neutre et de souffler.

Les deux temporaux seront alors à nouveau synchrones.

Pour les nourrissons, la situation semble être plus compliqué, ceux-ci refusant systématiquement d’obtempérer à l’apnée inspiratoire.

Comment adapter notre technique.

Le nourrisson est allongé sur le dos.

La Maman se place du coté ou il peut tourner la tête le plus facilement. Théoriquement ce sera du coté ou le muscle du cou (scm) est le plus contracté.

Le thérapeute pose une main sur la joue du nourrisson (du côté de la Maman) et l’autre sur l’épaule opposée de celui-ci.

Demandez à la Maman de descendre la tête au niveau du plan de la table afin d’inciter l’enfant à tourner la tête le plus possible jusqu’à ce que le thérapeute ressente que la rotation de la tête de l’enfant fasse bouger son épaule droite (clavicule) sous sa main (celle du thérapeute). Un fois que le mouvement de rotation de la tête de l’enfant est ressenti par la main du thérapeute, celui-ci attendra que l’enfant inspire (il le ressent grâce à la main posée sur la poitrine du nourrisson) pour à ce moment tourner (gentiment) la tête en position neutre.

Voilà c’est aussi simple que cela. Vous pouvez ne pas y croire, essayez !

Si tous les gestes ont été fait correctement l’enfant se mettra à tourner sa tête immédiatement beaucoup plus facilement de l’autre côté. Ce sera le meilleur test pour quelqu’un qui n’aura pas une main éduquée à l’art de la palpation.

La Maman ira de l’autre côté de la table pour inciter l’enfant à tourner la tête de l’autre côté, ceci afin de vérifier l’efficacité de la technique.

Ces manœuvres donnent de bons résultats et de façon constante.

Par la suite l’enfant sera plus calme et les muscles du cou vont progressivement se relâcher. Les mouvements physiologiques du crâne vont aider à remodeler le crâne du nourrisson au lieu de l’amener en torsion.

Les processus physiologiques mécaniques étant rentrés dans l’ordre, une simple surveillance thérapeutique devrait suffire. En effet l’enfant pourrait se désynchroniser à nouveau, et il suffirait de recommencer la technique.

Les lésions de désynchronisation demandant une mise en rotation complète de la première cervicale ou dorsale, il est conseillé de mettre de chaque coté de la tête une épaisseur de tissu suffisante. Ceci afin que l’enfant e puisse complètement tourner la tête… Il arrive, rarement que des nourrissons se désynchronise et créé un nouvelle lésion. L’apprentissage de la technique par les parents pourra remédier à ce désagrément…

Le traitement sera de faire cesser la cause originelle des dysfonctions fasciales, c’est à dire :

  1. Le dysfonctionnement musculaire.
  2. Le raccourcissement des fascias.

Il faudra :

  1. Traiter les pertes de rythmes génératrices de “spasticité“ et plus facile à mettre en évidence. Les traitements peuvent être des manipulations directes, des mobilisations articulaires ou des techniques faciales selon les types d’articulations ou l’affinité des ostéopathes à ces technologies…
  2. Dans un second temps, il faudra traiter les désynchronisations musculaires qui sont des lésions primaires, mais plus faciles à détecter après avoir traiter les lésions de pertes de rythmes
  3. Et enfin, il faudra traiter les lésions en pertes d’amplitudes, les étirements ou les techniques faciales pourront être efficaces à cette étapes.

L’Ostéopathie n’intervient donc pas uniquement dans les traitements des lésions articulaires, mais elle intervient également le cas de toutes les lésions organiques consécutive à des lésions fasciales persistantes

À venir